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Une précision suite à l'article "Condamné au pluralisme"

Publié le par Julien Freyburger

De façon logique, voici tout d'abord l'article du Républicain Lorrain :

 

RL expressionélus 231010 RL expressionélus 231010

 

Et, dans son prolongement, le texte complémentaire que j'ai souhaité écrire.

 

Dans l’article intitulé « Condamné au pluralisme », publié ce jour, il est notamment écrit ceci : « (…) Lire des critiques (souvent vachardes) sur soi-même dans le journal écrit par ses propres services : voilà à quoi est condamné Gérard Terrier. Dura lex, sed lex ! »

 

Une précision mérite d’être apportée à cette appréciation : l’opposition municipale de Maizières-lès-Metz, en l’occurrence le groupe Maizières Ensemble, ne dispose que de ce seul support municipal pour exprimer son point de vue, tous les 2 mois, sur des sujets municipaux. La majorité municipale bénéficie, de son côté, de l’ensemble des moyens conférés par la direction des affaires municipales.

 

Les autres moyens d’expression sont les supports d’information de l’opposition (site internet et publications) et, dans un registre différent, les articles publiés dans la presse régionale dont on ne soulignera jamais assez le caractère indispensable à la vie démocratique.

 

Cet état de fait est normal mais il permet de comprendre pourquoi ce sujet, loin d’être un objet de « triomphe », est important pour la démocratie locale. J’ajoute que notre propos, certes parfois critique, est aussi le reflet exact de l’opinion de nombreux habitants privés de débats municipaux pendant tout le mandat précédent.

 

L’apprentissage de la démocratie est à conforter au quotidien. La décision du Tribunal Administratif de Strasbourg le prouve une fois encore.

Publié dans Autour de Metz

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Une victoire de la Démocratie à Maizières-lès-Metz : le Tribunal Administratif annule une décision injuste du maire et rétablit l'opposition municipale dans ses droits

Publié le par Julien Freyburger

A la fin de l’année 2008, le maire de Maizières-lès-Metz avait unilatéralement et sans aucune concertation réduit l’espace d’expression des élus de Maizières Ensemble dans le journal municipal Vivre à Maizières.

 

C’est ainsi que le groupe Maizières Ensemble avait vu son espace passer de 50 % à moins d’1/3 suite à la décision arbitraire et anti-démocratique prise par M. TERRIER.

 

Le Tribunal Administratif de Strasbourg, que j’ai saisi en décembre 2008, a, au cours de l’audience publique du 13 octobre 2010, fait part de sa décision :

1/ Le Tribunal annule purement et simplement la décision de M. TERRIER,

2/ le Tribunal fait obligation au maire de revenir à un partage juste et équitable de l’espace d’expression des élus : 50 % pour chaque groupe d’élus.

 

C’est une vraie satisfaction pour l’opposition municipale de constater que le Tribunal Administratif de Strasbourg a tenu compte des arguments que j’ai développés en me donnant totalement raison. M. TERRIER, défendu par Me Bertrand MERTZ, avocat au Barreau de Paris, a ainsi l’occasion de constater que la démocratie ne se contente pas de grands discours sans lendemain mais qu’elle se traduit par des actes concrets.

 

Je n’ai demandé aucune réparation pécuniaire dans ma requête, pour que les citoyens et contribuables de Maizières-lès-Metz ne payent pas 2 fois : pour régler les honoraires de l’avocat du maire et pour couvrir les frais exposés par l’opposition. Le rétablissement de l’équité entre les élus était le seul objectif poursuivi.

 

Le pluralisme et la démocratie participative, dont M. TERRIER ne cesse pourtant de souligner les mérites, sont ainsi confortés à Maizières-lès-Metz, à travers cette importante décision du Tribunal Administratif.

 

LE JUGEMENT DU TRIBUNAL ADMINISTRATIF (TEXTE INTEGRAL)

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Publié dans Autour de Metz

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Manifester oui, bloquer et casser non !

Publié le par Julien Freyburger

Que certains décident de manifester contre une réforme destinée à assurer la pérennité de notre système de retraite par répartition, c'est un droit.

 

La Constitution protège le droit de manifester et le droit de grève. Heureusement.

 

Mais que d'autres n'hésitent pas à sombrer dans la violence est absolument inadmissible. La propriété privée, les biens publics et, surtout, les personnes, n'ont pas à subir les accès agressifs d'individus à la dérive.

 

Les différents blocages d'infrastructures industrielles et de communication ou d'établissements publics ne sont pas davantage acceptables.

 

Les décideurs politiques et syndicaux qui cautionneraient de tels agissements, par leurs actions ou omissions, auraient à en répondre devant les Français.

Publié dans En France et Ailleurs

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