Il faut arrêter les vieilles querelles et renouveler les comportements. L’avenir, c’est l’union.

Publié le par Julien Freyburger

Comme tous les lecteurs de la presse régionale, j’ai pris connaissance d’un énième communiqué relatif au redécoupage électoral de l’année dernière et à la façon dont tel ou tel parlementaire s’est comporté dans tel ou tel dossier.

 

Cette course à l’échalote tendant à la démonstration de comportements qui seraient plus vertueux que d’autres n’a aucun intérêt et n’apporte rien de plus à Metz et à la Moselle. L’entretien des vieilles querelles aboutit même à l’effet inverse.

 

Il faut que les élus mosellans et messins UMP, de droite et du centre, s’entendent durablement pour assainir le climat et renforcer nos positions qui seront ainsi soutenues collectivement.

 

J’ai 34 ans et aucune envie d’embrasser les querelles des générations plus anciennes. Nous avons besoin de toutes les compétences, y compris bien sûr celles de François Grosdidier et de Marie-Jo Zimmermann.

 

L’union est un combat. C’est aussi la meilleure façon de préparer l’avenir de Metz et de la Moselle.

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